Dombrance

Dombrance est de retour aux Abattoirs !
Armé de son canon à confettis et de sa plus belle moustache, il a retourné sa cuisine, sa salle-de-bain et la chambre des enfants pendant le confinement…Dombrance, l’homme qui fait rimer politique et clubbing depuis son passage aux Trans Musicales de Rennes en 2018, poursuit son projet electoralo-musical fou : Pour Une France qui Danse !

Roszalie

Le logo du groupe est clair : le S est avant le Z dans le nom Roszalie. Au moins, on ne se trompera plus. À cette particularité typographique, s’en ajoute une, organique, avec ce trio rennais qui mélange, de (six) mains de maître, claviers analogiques et batterie. Pendant des années, les frangins Ronan et Paul ont d’abord chiné des vieilles machines dans les brocantes, travaillé à rendre modernes ces anciennes sonorités pour élaborer une palette en évolution permanente, puis sollicité Guillaume, batteur entre autres pour DBFC et Rachid Taha. L’expérimenté musicien a tellement été séduit par la fratrie, tant humainement que musicalement, qu’il n’a plus quitté son tabouret. Il n’est pas le seul à avoir été conquis par le projet. Roszalie a été sélectionné, en avril 2024, au sein du dispositif Inouïs du Printemps de Bourges et il est aujourd’hui accompagné par trois salles : L’Antipode (Rennes), Hydrophone (Lorient) et Pôle Sud (Chartres-de-Bretagne). Intégré au roster de Radical, le trio prépare actuellement le show pour une tournée des SMAC et festivals en 2025. Dans la veine d’un LCD Soundsystem qui aurait oublié de prendre sa tisane du soir ou d’un Phoenix qui aurait rangé le jean Slim au placard pour sauter dans tous les sens, Roszalie propose sur scène un live loin des conventions, qui fait fi du classique couplet-refrain. Ronan et Paul se font face et interagissent avec Guillaume, au centre de l’arène. La tête n’est pas dans le guidon, mais alerte et vive, prête à bouillir entre deux croisements de regards. Ça improvise, ça breake et ça s’amuse des structures musicales préalablement inventées. L’EP, qui sortira le en fin d’année, aborde la thématique de la décision. Chaque morceau illustre donc une étape d’un processus décisionnel, par des métaphores et champs lexicaux propres. À noter que les trois Rennais apprécient beaucoup leurs homologues néerlandais de Weval. Et là aussi, bon courage pour l’orthographe du nom. C’est V ou W en premier ?

Marco Del Bosque

Originaire d’Angoulême maintenant basé à Paris, musicien et producteur Marco del Bosque puise son inspiration dans les sonorités de la trance et de la dark disco. Cette fusion musicale se ressent dans ses productions, qui cherchent à créer un équilibre entre modernité électronique et atmosphères envoûtantes des années 80.

Pendant ses lives, Marco est accompagné de ses synthétiseurs et de ses boîtes à rythmes, qu’il porte avec sa voix et sa guitare, apportant une dimension organique à ses performances. Chaque représentation est unique, car chaque public l’est.

Son seul leitmotiv : conserver une énergie dansante qui lui est propre. Sur scène, Marco entend tisser un lien étroit entre l’univers du club et le spectacle vivant, créant ainsi une expérience singulière pour ses spectateurs.

SÖWE

Au départ, ce sont des artistes tels que Demuja, Acid Arab, VoilaaaSound System et Idd Aziz qui ont motivé. SÖWE à s’emparer desplatines aux côtés de son collectif Turtle Corporation. Grâce à sonénergie lumineuse et ses mélodies exotiques, elle a rapidement faitses preuves lors de festivals bretons prestigieux tels que LesRencontres Trans Musicales, Astropolis, Bobital, Don Jigi Fest etHorizons Open Sea.Aujourd’hui, SÖWE est portée par l’envie de rendre ses sets pluspercutants en explorant de nouvelles sonorités, enrichies dedrums puissants et en naviguant entre différents continents.La jeune artiste en pleine ascension transforme ainsiles dancefloors en véritable voyage introspectif, à mi-chemin entre les clubs de sa Bretagne natale et les sonorités venues des quatre coins du monde.bh

Harmo Draüs

HARMO DRAÜS est une artiste electro-pop alternative originaire de Caen. Multi-instrumentiste, autrice-compositrice et productrice, elle a collaboré avec David Shaw and The Beat, Agathe Plaisance et Bison Chic. En 2023, elle sort son premier EP MISFITS sur son label Lilie’s Records. Engagée pour la visibilité des artistes marginalisés, elle dévoile en 2024 My Body My Choice, un single électroclash percutant dédié à la lutte contre l’oppression patriarcale.

DISC/OVER

Membre fondateur du collectif breton Fest Noise, ce passionné de musiques électroniques se nourrit de l’éclectisme de ce courant musical. Fort des expériences vécues en festivals ou en clubs, Disc/over prône des sets aux multiples facettes, tels des ôdes à la découverte et à l’exploration. Selon l’ambiance, le mood ou encore le lieu, il aime s’adapter en voyageant à travers les époques et les genres, de la disco vintage à la fast techno, sans oublier certaines notes acidulées qu’il affectionne tout particulièrement.

Antoine Dabrowski (Tsugi Radio)

Homme de radio, DJ, clubber impénitent et infatigable festivalier (si possible dans la boue) : tous les moyens sont bons pour le fondateur de Tsugi Radio, et ancien de France Inter, pour vivre la musique au quotidien. Derrière des platines, Antoine Dabrowski délivre une techno sexy qui n’oublie jamais son groove. Ancien résident du collectif Cockorico, responsable du fabuleux Bal Con, il a mixé au Rex Club, à Point Ephémère, Chez Moune, au Trabendo sur l’Iboat à Bordeaux, à La Sirène à La Rochelle, aux côtés de Rone, Djedjotronic, Bruno Pronsato, Molly, Remote, Ivan Smagghe, La Mverte, Yuksek, Pantha du Prince ou Shlomi Aber. On le retrouve aussi souvent aux platines des bars VIP des nombreux festivals qu’il parcourt avec Tsugi Radio : Panoramas, le Printemps de Bourges, Rock en Seine, les 3 Éléphants.